Fleur noire et blanche en gros plan, avec d'autres fleurs floues en arrière-plan.
Logo noir et blanc avec une décoration floral et un écusson central contenant le texte "Éditions Léopoldine".

Ce qu’il faut savoir

Bienvenue dans le contenu Léopoldine consacré à « La Nuit sous les Glycines »

 
  • Vous tenez entre vos mains un aperçu de ce que nous appelons un contenu Léopoldine.

    Ce document, bien que fictif est né d’une œuvre imaginaire (que nous appellerons « La Nuit sous les Glycines »), témoigne de ce que pourrait être un contenu Léopoldine. Il n’appartient à aucun livre publié, mais en épouse le principe. Nous l’avons conçu tout exprès, afin de vous en offrir un avant-goût.

    Ce roman fictif, situé en Angleterre à la fin du XIXᵉ siècle, retrace l’histoire d’une demeure isolée, d’une disparition inexpliquée et d’un journal retrouvé dans les cendres d’un incendie.

    Chaque contenu Léopoldine qui en est issu contient un nombre variable de créations originales.

    À titre d’exemple, seul le premier contenu présenté ici est cliquable.

    Enfin, toutes les mentions qui suivent, sous forme de titres déroulants, correspondent aux directives et intentions éditoriales que nous avons établies. Elles exposent les fondements de notre démarche et ce que chaque contenu Léopoldine s’attache à respecter.

  • Nous sommes ravis de vous offrir un accès privilégié à des contenus soigneusement façonnés, en complément de nos ouvrages.

  • En ces lieux, découvrez des créations originales, imaginées dans le respect de l’esprit des œuvres classiques, afin d’enrichir votre expérience de lecture, dans une fidélité aimante et profonde.

    Nous avons fait le choix de ne requérir nul abonnement : les contenus exclusifs sont offerts avec chaque livre, en témoignage de notre gratitude envers la fidélité et la confiance de nos lecteurs.

  • Le contenu Léopoldine présenté en cette page est fictif, élaboré par les Éditions Léopoldine et rédigé par America Grace.

    Conçu dans une harmonieuse résonance avec l’univers de l’œuvre originale, il demeure cependant indépendant du texte de l’écrivain.

    Il n’a point pour dessein d’imiter le style ni la voix de l’écrivain, ni d’altérer l’œuvre telle qu’elle fut initialement conçue.

    Son objet est d’offrir une expérience de lecture enrichie, proposant une approche complémentaire fidèle à l’esprit du texte, tout en en préservant la pureté.

  • Le contenu Léopoldine demeure accessible à compter du jour fixé pour la parution de sa réédition, soit le 26 février, ou, le cas échéant, le 28 août, si une seconde publication advient au cours de l’année.

    Il se fait, ainsi, disponible en tout temps, selon le rythme propre à chaque lecteur, sans que nul ne soit astreint à une attente.

  • Les illustrations employées en nos contenus sont, sauf mention expresse, la propriété des Éditions Léopoldine ou furent spécialement commandées pour ces publications.

    Lorsqu’une illustration provient du domaine public ou a été générée par intelligence artificielle à titre exclusivement illustratif, son origine est toujours dûment indiquée sous l’image concernée.

    Nous avons résolu de faire choix d’une transparence entière quant à l’origine des images ; c’est pourquoi la nature de chaque illustration est précisée avec soin dans nos contenus.

  • Toute reproduction, diffusion ou partage, sous quelque forme que ce soit, est interdite et pourra donner lieu à poursuites.

    Toute mention ou usage des illustrations spécialement réalisées pour ces contenus ne saurait se faire sans l’accord exprès de leurs créateurs.

  • Lithographie ou gravure ancienne

    Lettre dictée à la nuit

    Texte retrouvé sans enveloppe, inséré dans une Bible – daté du jour de l’incendie, signé d’un prénom incomplet

  • Le vestibule aux visages tournés

    Le vestibule aux visages tournés

    Évocation floue, issue d’un rêve consigné – papier jauni, ratures nombreuses, annotation marginale : « à ne pas relire »

  • Ce qui devait être détruit

    Ce qui devait être détruit

    Page isolée, calcinée sur les bords – appartenait peut-être à un journal brûlé dans la cheminée de la chambre nord

  • Une plainte cousue dans la doublure

    Une plainte cousue dans la doublure

    Fragment manuscrit, dissimulé sous la soie d’un manteau de deuil – lignes tracées à l’encre violette

  • Registre d’un silence prolongé

    Registre d’un silence prolongé

    Document lacunaire, vraisemblablement issu d’un cahier de surveillance – initiales effacées, heures notées au graphite

  • Le jardin de l’autre dimanche

    Le jardin de l’autre dimanche

    Feuillet non daté, retrouvé plié dans un ouvrage de piété – l’écriture semble celle de l’enfant disparu